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lundi 30 janvier 2012

Comparaisons suite

Quelques comparaisons tirées de Joyce Carol Oates, Les Chutes :

"Il produisait une impression, forte comme un after-shave, d'inaction frénétique et bien intentionnée."

Une très belle comparaison dans laquelle on voit que Joyce Carol Oates à une belle connaissance de la psychologie féline :

"Dirk lui toucha le bras, mais elle se déroba avec grâce. Comme une chatte se dérobe à la caresse de quelqu'un par qui elle ne veut pas être touchée à ce moment précis, mais qu'elle ne souhaite pas offenser parce qu'il pourrait être utile plus tard. "

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